Pour un recycleur automobile, l’achat de véhicules pertes totales provenant de l’assureur peut s’avérer la source de matière première la plus fiable pour son entreprise.

Premièrement, faire affaire avec une organisation comme ProgiPix, qui procure des unités provenant exclusivement des assureurs, cela certifie la légitimité des ressources. Les hypothèques mobilières des véhicules sont en règle et l’automobile ne provient pas d’un possible recel. Vous êtes certains de sa provenance.

Deuxièmement, vous obtiendrez ce que vous avez vu lors de la mise en marché. Les dommages ne sont pas masqués, aucune modification n’est faite aux véhicules qui sont seulement documentés et photographiés. Ils proviennent directement des centres de collision ou des fourrières et sont entreposés selon les strictes normes du réseau ProgiPix. C’est donc un achat sans mauvaises surprises.

Troisièmement, ces véhicules ont une bonne valeur. Avant qu’elles ne soient déclarées pertes totales, ces automobiles étaient en bonne condition et non en fin de vie. Cela se voit à la qualité des pièces principales, mais aussi des accessoires comme les pneus. Leur qualité est supérieure à ce que vous pourriez vous procurer directement à votre centre de recyclage, si c’est l’endroit où vous achetez votre matière première.

En comparaison, un véhicule de même année, marque et modèle qu’un particulier voudrait vendre à un centre de recyclage serait généralement en fin de vie, et plusieurs de ses pièces usées à la corde. L’espérance de revente d’un tel véhicule est faible en matière d’acheteurs potentiels et de valeur marchande.

Pour terminer, il est important de bien acheter. Il faut se procurer notre matière première selon les stratégies d’affaires de son entreprise, par exemple, rebâtir les automobiles à neuf pour la revente, revente des pièces sur le marché, exportation, etc. Ensuite, si vous achetez au bon endroit, vous obtiendrez une valeur ajoutée sur votre apport en matière première et cela se reflètera sur vos ventes.

Rédaction : Alexandre Rocheleau
Collaboration : Frédéric Miceli
Révision : Sophie Larocque
Édition : Émilie Blanchette